La classe de 4ème C a vécu une très belle aventure en participant à Classe Presse.
Classe presse : les 4C remportent deux prix !
La classe de 4ème C a vécu une très belle aventure en participant à Classe Presse.
Les élèves de 4ème C ont participé à l’opération Classe Presse. Pendant deux mois, ils ont reçu les journaux Ouest-France et le Courrier de la Mayenne. Dans le cadre des cours de Français, ils ont découvert le métier de journaliste, réalisé une revue de presse quotidienne, visité le siège de Ouest-France à Rennes.
La finalité de cette action était de rédiger un article sur le thème « M’informer sans me tromper, c’est possible ? » Pour le présenter au challenge d’écriture et au concours d’illustration de presse.
Lorsqu’on leur a dit qu’ils étaient conviés au conseil départemental le mardi 25 juin, pour la remise des prix, les élèves étaient déjà très heureux, mais la joie était à son comble lorsqu’ils sont revenus au collège avec deux prix : premier prix pour l’article et le prix de l’illustration.
Un grand bravo à toute la classe !
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L’article :
Poisson d’avril ou poison d’avril ?
Entre les premiers poissons d’avril et les premières fake-news, plus de 450 ans se sont passés… Historiquement, le poisson d’avril date de 1564, année où le Roi Charles IX décide de modifier le calendrier pour débuter l’année le 1er janvier et non plus le 1er avril. Décision diversement appréciée qui a amené certains à faire des blagues le 1er avril de chaque année, dans le but de faire rire et se moquer. Que reste-t-il de nos jours de cette tradition?
Les élèves interrogés ont tous au moins une fois « collé un poisson d’avril dans le dos d’un enseignant en primaire .» Mais au collège, la tradition se perd. Il reste toutefois quelques fidèles, comme l’un de nos camarades qui est arrivé le 1er avril dernier en chaussons au collège, pour faire une blague qui a vite tourné court, la première « victime » étant le directeur… Cette coutume persiste de manière surprenante dans les médias. Ainsi dans le Courrier de la Mayenne , les lecteurs ont pu apprendre : « l’arrivée du Métro à Laval, le bon d’essence pour un plein gratuit ou l’atterrissage du Concorde à l’aéroport Beausoleil. » A chaque fois, les gens ont pensé être informés. En fait, ils étaient trompés et étaient passés à côté d’un indice qui les guidait vers la vérité. Mais force est de constater que les canulars étant monnaie courante tout au long de l’année, sur Internet en particulier, les Français ont perdu le goût de faire des blagues le 1er avril… Faut-il le regretter ? Certains poissons d’avril tournent parfois en poisons d’avril comme les canulars téléphoniques à destination des sapeurs- pompiers… ou les fake-news. Ces dernières ont pour but de tromper volontairement ceux qui les consultent sur internet. Dernier exemple en date : « un gilet jaune aurait mis le feu à la flèche de Notre-Dame. » Zoom réalisé : il s’agissait d’un pompier qui éteignait l’incendie…
Article rédigé par l’ensemble des élèves de la classe de 4ème C.
Mme Léon,